El señor
L’opération fera date dans les annales tumultueuses des relations industrielles franco-britanniques. En rachetant au cœur d’un été frileux le producteur d’énergie britanniqueInternational Power (IP), Gérard Mestrallet, le PDG de GDF Suez, peut se frotter les mains.
Las operaciones se realizarán en los anales tumultosos de las relaciones industriales franco-británicas.Adquirido en medio de un periodo improductivo., el productor de energía britanica International Power(IP), Gerard Mestrallet, gerente general de la GDF Suez, puede regocijarse.
Présenté comme unvrai feu d’artifice, le GDF Suez, en profitant la montée en flèche des actions de l’IP, a fait une bonne décision, le nouveau mammouth consacre la domination française du secteur électrique à l’échellemondiale. L’effet de ce mariage était garanti : un vrai choc. La logique industrielle, financière et politique de cette belle mécanique est évidente.
Presentado con un excesivo entusiasmo, la GDFSuez, aprovechó el alza de las acciones de la International Power, ha tomado una buena decision, el nuevo monstruo económico se consagra en el sector electrico a escala mundial. El efecto de ese convenioestaba garantizado ; lo cual ocasionó un verdadero impacto. La adaptación de ambas empresas a nivel industrial financiera y política es evidente.
Le GDF Suez a su bien profiter la mondialisationet l’actuelle conjoncture de consommation et d’achat. La presse est laudative. « Pour les actionnaires, c’est le meilleur compromis possible », craque le Financial Times devant ce pari osé devenuréalité après un premier échec au début de l’année. Seul le Daily Telegraph, grincheux comme à son habitude, se demande si on peut faire confiance aux Français.
La GDF Suez ha aprovechado bien laglobalización y la actual coyuntura de consumo y compra. La prensa es aduladora « para los accionistas , es el mejor compromiso posible » manifiesta el Financial Times frente a esta apuesta osada hecha...
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