Ciencia

- Bienvenus chez les experts, j’ai mit et oui les experts du centre national de formation de police judiciaire ici on forme les officiers, les études d’officiers de la Gendarmerie au travail de police technique et scientifique et aujourd’hui, exercice sur terrain, on vient de retrouver, en plein foret, un corps tué par balle.
- Oh, je ne crois pas, a cadavre. Mais c’est un vrai cadavre ?
-Assez trois, il s’agit d’un autre mort.
- Tu veux parler des morts maintenant ? Oui. Alors, le DIC, c’est comme ça qu’on les appelle aux techniciens en identification criminelle. Ce sont lesquels ont du venir sur la scène du crime. Ils vont prouver tous les indices pour ainsi faire avancer l’enquête bref essayer et comprendre ce qui c’est passé. Alors, Savina, tu es prête ?
- Ah, évidemment.L’institut de recherche criminel de la Gendarmerie National XXX tout le monde est prêt ici.
- Évidemment on est prêt Savina.
- Tu vois ? Aller Fred.
- Parfais, alors au boulot.
- Fred, un café ?
- Merci. Je crois que je vais avoir besoin.
- Alors Fred, tu n’es pas tout seul. Quand on a fait ce déroule à la campagne comme ici c’est la Gendarmerie qui a interdit a le présent pour encerclersur environ un 80% de territoire. En ville, c’est la police. Alors dont un crime est découvert, a directeur est davord désigné, c’est lui patron. On a obligatoirement informé le procureur de la république. Le directeur va pouvoir faire l’appel sur le DIC qui est une équipe qui enquête sur la terre et peut aussi auditionner XXX, ordonner des perquisitions tout cela bien sur avec la permission duprocureur de la république.
- On va tirer l’enquête c’est pas possible comment s’appel mon boulot. Je vais pour ce cadavre.
- Pour Fred et pour morden, je veux dire, on reste sous le cour simplement XXX le crime il lui décidé ou bien le procureur décide de prolonger une semaine le pouvoir de la Gendarmerie ou bien il demande l’ouverture d’une formation judiciaire et a partir de là c’est un juged’instruction qui pognerait de l’enquête de vigilance et qui a des charges et concrètement il va prouver l’innocence ou la culpabilité d’un suspect. Évidemment il ne veux pas l’enquête tout seul il divise ce pouvoir avec les officiers de police judiciaires ou des gendarmes, des experts privés ou des spécialistes poli techniques scientifiques. Les laboratoires de la police sont basés à Paris, Lyle,Lyon, Toulouse et Marseille et sous la Gendarmerie de l’institut de reserche criminel est basé à Rosny-Sous-Bois de la région parisienne.
- Le Ministre de l’Intérieur XXXX a créé les deux premiers brigades de police judiciaire : la fameuse Brigade du Tigre pour traiter les travaux d’Alfons Bertignon en charge de l’identité judiciaire. Pour la premier fois les suspects sont identifiés a partir desmesurassions comme la taille ou l’envergue. Les photos de face de profile des criminels sont premièrement réalisées. Les scènes du crime sont désarmées, photographiées et les XXX digital minutieusement révélé et répertorié. En 1910 le Docteur XXX crée le premier laboratoire poli scientifique à Lyon. Les autres suivront rapidement mais à partir des années 50 la police scientifique perd sa crédibilitéfaut the moyen XXX ne sont pas résolus. Au début des années 80, on trouve 800 scientifiques dans la police. Très bite, le gouvernement va la moderniser. La police connecte alors un important progrès avec l’apparition de la génétique. Les gens trouvés dans la scène du crime peuvent prouver ou l’innocence d’un suspect. Aujourd’hui il y a 2000 policiers qui travaillent dans la police technique etscientifique.
- Et voilà mes amis je suis dans la battra blanc que j’ai dit on métier et lui est resté sur le terra. Les DIC sont toujours équipés des combinassions des gants e également de masques pour ne pas polluer la sang du crime, ne souffre par exemple cause les extrêmes ou encore la production de salive. Les pistes. Chaque place où ils sont placés n’importe où n’importe comment l’accès...