Dra En Economia

Roxana Campos TES
Commentaire du texte page 249


Le philosophe allemand du XIX siècle Friedrich Nietzsche prône pendant toute sa vie une philosophie critique, ceci s´expliquer par le fait que pour lui, l´homme vit dans un culte à l´illusion et jour à jour dans la frustration ce qui le fait penser à l´au delà, quand tout ce qu´il devrait c´est vivre sa vie car il n´y a rien deplus fantastique que cela. Nietzsche tente dans cet extrait de critiquer la pensée logique et rationnelle et de démontrer que la logique ou la forme des raisonnements est, comme beaucoup d´autres notions forgées par l´homme, très arbitraire. En fait celle-ci qu´est prise partout comme une formalité est une fiction. J´analysera ce texte de façon ordonnée et en le divisant en 5 parties différentes.Démarche
Cet extrait est composé de cinq parties : La première partie, de la première ligne à la ligne sept, offre une explication détaillée sur ce que c´est la logique et comment elle facilite l´expression de la pensée humaine. La deuxième partie de la ligne sept à la ligne neuf expose plus particulièrement l´aspect arbitraire de la logique. Dans une troisième partie, l´auteurexplique comment les notions d´«expérience » et « connaissance » s´imbriquent entre elles-mêmes et ont comme origine la logique. La quatrième partie expose le fait que la logique ne sera jamais une réalité à laquelle l´homme doit prendre soin.
Enfin, la cinquième et dernière partie commence au milieu de la phrase ligne quinze, depuis « aucune… ». Il s´agit d´un démenti de la logique mathématique, quine saura jamais aller de main avec la réalité car elle « valide » l´homme.

Développement
Dans un premier lieu, Nietzsche utilise le pronom démonstratif « cette » pour accompagner le nom « logique » comme s´il s´agissait d´une référence à quelque chose de bien connu qu´est traité de manière universelle. En fait, la « logique » chez l´homme est un thème très récurrent dans laphilosophie depuis Aristote, dont la contribution est fondamentale (avec sa théorie du syllogisme et la théorie des propositions qui composent un raisonnement) et c´est à cette logique dont Nietzsche fait référence.
Il entame ainsi une sorte de définition de ce qu´est la logique, c´est à dire « la pensée elle-même qui est supposée cause d´autres pensées ». La logique est donc d´abord le mécanisme parlequel une proposition se fait suivre d´une autre pour former un enchaînement, une sorte de système de ce qu´est la pensée.
Pour l´auteur, cet enchaînement est tout à fait « fictif » ou irréel et cette logique est le modèle même de ce qu´est une fiction achevée c´est à dire un exemple par excellence des illusion que se fait l´homme. La logique n´est que l´expression résumant le raisonnement ouenchaînement de propositions qu´a lieu dans le cerveau de l´homme, cet enchaînement est en réalité bien plus « complexe » que celui qu´est exprimé par la logique . C´est ainsi que cette logique vient faciliter l´essence de la pensée humaine et ce système ou enchaînement de propositions devient compréhensible et communicable à autrui par le biais de signes. La logique est un quelque sorte unetraductrice de la réalité dans une simplification de celle-ci qui a pour but que nos pensées soient compréhensibles et soient plus facilement reçues par quelqu´un d´autre. C´est une mise en schéma, un mécanisme ou processus par lequel notre pensée se transforme de quelque chose d´abstrait et devient un ensemble concret qui peut être ensuite communiqué.
La deuxième partie s´ouvre par le verbeadmettre, qui peut être ici un synonyme de « se contenter » pour Nietzsche. Dans cette partie, l´auteur dit comment se contenter avec cette notion de logique est une erreur. En fait dire que nos pensées qui sont une réalité complexe puissent être représentées ou traduits par ce processus ou ce mécanisme qu´est la logique s´avère extrêmement faux et n´est qu´une formalité. Ceci est du au fait que...