El libre comercio

La negación del libre comercio a menudo se supone que significa la retirada proteger la producción autárquica demasiado costoso. A l'inverse, les « ouvertures » au commerce international et le décollage économique de la Corée du Sud ou de la Chine sont présentés comme des applications du « libre-échange ». Por el contrario, la "apertura" al comercio internacional y el auge económico en Corea delSur o China se presentan como las aplicaciones de la "libre comercio". C'est occulter le sens des mots et des enjeux. Este oscurecer el significado de las palabras y temas. Le libre-échange implique une compétition libre (donc entre égaux), non faussée par l'Etat. El libre comercio significa la libre competencia (es decir, entre iguales), no distorsionada por el Estado. Et ce n'est pas tantl'autarcie qui lui est opposée que des échanges sous contrôle – ouvrant un débat sur ses critères. Y esto no es auto-suficiencia tanto que está enfrente de que el comercio bajo control - la apertura de un debate sobre sus criterios. Un fort « taux d'ouverture » – pourcentage élevé d'exportations rapporté à un indicateur de production – peut être associé à un très fort interventionnisme d'Etat, comme enCorée du Sud et en Chine, dont la croissance a été « protégée »... Una muy "tipo abierto" - un alto porcentaje de las exportaciones registró un indicador de la producción - pueden estar asociadas con un estado intervencionista fuerte, como en Corea del Sur y China, cuyo crecimiento ha sido "protegida" ... C'est ce qu'ont choisi tous les pays aujourd'hui développés, fait occulté par lesprésentations dominantes de l'histoire du commerce mondial. Este fue elegido todos los países desarrollados de hoy, se ve ensombrecido por las presentaciones dominante de la historia del comercio mundial.
Conseillée par David Ricardo, principal théoricien du « libre-échange », l'Angleterre du XIXe siècle abolit les corn laws – qui protégeaient jusqu'alors la production céréalière britannique. Recomendadopor David Ricardo, el principal teórico del "libre comercio", la Inglaterra del siglo XIX abolió las leyes de maíz - que anteriormente protegidos de producción de cereales del Reino Unido. L'Angleterre, qui avait connu sa révolution industrielle capitaliste un siècle avant la France, menait jusque-là, comme les autres puissances commerçantes, une politique « mercantiliste ». Inglaterra, que habíaconocido a su revolución industrial capitalista, un siglo antes de que Francia, dirigido hasta entonces, al igual que otras potencias comerciales, una política de "mercantilismo". C'est-à-dire une politique protectionniste dans le cadre d'une alliance entre Etats forts et grands marchands du commerce « au loin », appuyée sur les armées pour conquérir le « nouveau monde » et contrôler les grandesroutes du commerce mondial. Es decir, una política proteccionista en el contexto de una alianza entre estados fuertes y grandes operadores comerciales "off", con el apoyo ejércitos a la conquista del Nuevo Mundo y el control de las rutas del comercio mundial. La révolution industrielle et l'expansion des échanges se sont réalisées – de l'Europe occidentale aux Etats-Unis et jusqu'au Japon – sur desbases protectionnistes. La revolución industrial y la expansión del comercio han hecho - de Europa Occidental a los Estados Unidos y Japón - por motivos proteccionistas.
La thèse « libre-échangiste » fut formulée au cœur de la première puissance industrielle et colonialiste de l'époque en réponse à une crise majeure du profit. La tesis de "libre comercio" se formuló en el corazón de la primerapotencia industrial y la época colonial, en respuesta a una crisis importante para el beneficio. Et si elle est remise à l'ordre du jour, au tournant des années 1980, aux Etats-Unis, c'est pour les mêmes raisons. Y si es entregado a la orden del día, a finales de 1980, los Estados Unidos es por las mismas razones. La tendance à la chute du profit fut analysée par Ricardo (avant d'être développée...