Genética

Les glissements de progressifs d'une équation
sommes-nous pilotés par nos gènes ? - 30/06/1998 dans mensuel n°311à la page 50 (1611 mots) | Gratuit

SOMOS PILOTADOS POR NUESTROS GENES
La génétique quantitative propose une méthode permettant de quantifier la part de l'influence des gènes dans la détermination d'un trait humain complexe maladie cardio-vasculaire, schizophrénie, anxiété.... Elleaboutit au calcul de l'héritabilité du trait considéré. Bien que les avis soient partagés, il semble que cette méthode, très en vogue dans les pays anglo-saxons, ait surtout le mérite de dévoiler la complexité de ce genre d'exercice.
Pour déterminer dans quelle mesure un trait est influencé, voire déterminé par un ou plusieurs gènes, les généticiens ont développé depuis les lendemains de la PremièreGuerre mondiale une discipline à part entière, la génétique quantitative1. Celle-ci a peu à peu intégré les progrès de la génétique moléculaire.

La genética cuantitativa propone un método que permite cuantificar parte de la influencia de los genes en la determinación de enfermedades cardiovascuares complejas, esquizofrenia, ansiedad…Esto se hace mediante el cálculo de los rasgos heredables aconsiderar. Este método esta en boga de los países anglosajones quienes se esfuerzan por develar la com´plejidad de este ejercicio.

Para determinar en cual medida un rasgo es influido o determinado por uno o varios genes, los genetistas desarrollaron (desde los días siguientes de la Primera Guerra mundial) una disciplina de pleno derecho, la genética cuantitativa. Ésta integró poco a poco elprogreso de la genética molecular.

Prenons un exemple relativement simple, la mucoviscidose - la maladie pour laquelle a été créé le Généthon. Elle se transmet comme les petits pois de Mendel. Si chacun des parents est porteur de la forme allèle défectueuse du gène, mais en un seul exemplaire sur l'un seulement des deux brins de la double hélice, ils ne sont pas malades. Mais chacun de leurs enfants aun risque 25 % exactement de contracter la maladie : il suffit que deux allèles défectueux se retrouvent face à face sur le même chromosome. Dans ce cas la part du génétique dans le trait considéré le déclenchement de la maladie est de 100 %. On parle de maladie monogénique.

Tomemos un ejemplo relativamente simple, la Fibrosis Quística- la enfermedad para la cual ha sido creado Généthon. Ella setransmite como los guisantes de Mendel. Si cada uno de los padres es portador de la forma alélica defectuosa del gen, no están enfermos. Pero cada uno de sus niños tiene un riesgo el 25 % exactamente de contratar la enfermedad: basta que dos alelos defectuoso se reencuentran frente a frente sobre el mismo cromosoma. En ese caso la parte de genética en el rasgo considerado el disparo de laenfermedad es del 100 %. Hablamos de enfermedad monogénica.
Prenons maintenant un exemple beaucoup plus compliqué : la maladie cardio-vasculaire si l'on entend par là toutes les affections que traitent les cardiologues. Tout le monde sait que les gènes y sont pour quelque chose, et l'environnement aussi. On voit bien également que le risque de contracter la maladie varie beaucoup d'un individu à un autre,et que les facteurs alimentant ce risque sont eux-mêmes très variés. Nous sommes là devant ce que les généticiens appellent un « trait humain complexe ». La variabilité de ce trait au sein d'une population donnée par exemple chez les Européens mâles âgés de 50 ans n'est pas une affaire de tout ou rien, comme dans la mucoviscidose : elle s'inscrit dans un continuum qui peut être inscrit sur une ouplusieurs courbes de distribution, lesquelles peuvent être corrélées aux différents facteurs de risque identifiés, qui peuvent eux-mêmes faire l'objet d'analyses statistiques. Pour cette raison le trait est dit « quantitatif », sans doute de manière quelque peu impropre,. Pour essayer de démêler la part des différents facteurs impliqués, et éventuellement en tirer une conclusion globale sur la...