Histoire de la santeria au venezuela

HISTOIRE DE LA SANTERIA AU VENEZUELA


ECOLE DES HAUTES ETUDES EN SCIENCES SOCIALES
Nom : LA CRUZ
Prénom : Cantaura
Master Sciences de Religion et Société (M1-S1)
Histoire des faits religieux

A partir des années 90, le paysage de la vie quotidienne de Caracas commence avoir un petit changement ; ces changements peuvent être aperçus dans le métro, dans les bus, dans les banques, voirdes gens habillés en blanc depuis la tête jusqu'aux pieds il n'est déjà pas tellement étrange. Il s'agit certainement de «santeros», qui sont reconnu par son vêtement, comme en France sont reconnus les musulmans. Pendant les années 2000 chaque jour, il est de plus en plus normal de les trouver dans la rue mélangés avec le paysage de la ville.
Selon les données trouvées dans plusieurspublications des chercheurs sur la traite négrière au Venezuela, le commerce d'esclaves a été suspendu précocement, en comparaison avec d'autres pays, par conséquent formations religieuses comme la Santería, laquelle est héritage d'un syncrétisme religieux post colonial, n'a pas pu être développée de la même manière, et a vécu plutôt un processus d'adaptation comme phénomène transnational religieux.Ainsi, selon Stefania Capone (Capone, 4/2010) «À partir du début des années 1990, l’approche transnationale des phénomènes religieux a apporté une nouvelle compréhension des religions en migration » Nous assistons alors à différentes conceptions de l'interprétation classique des « grandes religions » comme le christianisme, et des « religions ethniques » pour faire référence aux religions formées commeressources identitaires.
Nous pouvons dire que la transnationalisation religieuse a commencé dont avec le développement colonial; dans le cas de l’Amérique latine, la première forme de transnationalisation religieuse est effectuée particulièrement pendant la période coloniale à l'égard de l'organisation des missions catholiques. Plus actuellement, le flux d'émigration et l'immigration depersonnes par tout dans le monde, produit aussi la condition transnationale des identités, par conséquent la religiosité; il est pour cette raison que les églises évangéliques, catholiques, pentecôtistes, etc., aident dans le processus d'intégration de l'immigrant dans la nouvelle société qui les accueille en établissant des réseaux sociaux qui sont plus ou moins connu dans ses terres d'origine (Capone,2010).
Parmi les composantes du patrimoine culturel, matériel et immatériel de «notre» continent, syncrétique, les formations religieuses «ethniques» sont profondément populaires et profondément enracinés en Amérique latine et les Caraïbes, elles font partie du patrimoine et l'héritage africain qui est resté du passé colonial. Il est en fait importante remarquer que ces pratiques ont marquél'identité de plusieurs de nos peuples, et non seulement les « Afro-descendants », mais aussi une grande partie de l'Amérique latine et des sociétés des Caraïbes.
En outre, la culture de racines africaines est l'un des axes principaux de l'identité des Caraïbes. En effet, la rencontre forcée des millions des africains, des indigènes et des Européens a laissé des effets, que nous a mit dans unprocessus qui se poursuit encore multiculturelle.

Processus historique des esclaves en Amérique latine
Relations entre le développement culturel et de l'influence de l'ethnicité en Amérique Latine

Le marché de la traite négrière entre l'Europe et l'Amérique latine avait fondamentalement évolué du côté de l'Atlantique des deux continents. Quant à la distribution d'esclaves dans le Nouveau Monde,dépendait de l'activité de certaines régions, dont le commerce des esclaves a été plus intense dans certains pays qu’en autres. Entre 1650 et 1900, environ 10,24 millions esclaves africains sont arrivés dans les Amériques, plus ou moins divisé en huit domaines principaux utilisés par les Européens pour acheter et expédier les esclaves de l'hémisphère occidental. (Lovejoy, 2000)
Sénégambie...