Kiffe kiffe demain
Páginas: 2 (412 palabras)
Publicado: 1 de junio de 2010
Clarissa Guzman
Kiffe kiffe demain
La vie à la cite
Doria, une jeune marocaine de 15 ans, immigrée, nous décrit dans une sorte de journal ses états d’âme, sa vie dans une cité de Livry-Gargan de la banlieue parisienne.
Elle nous raconte avec ses mots, dans un style aussi humoristique qu’insolent, le rôle et les conditions de vie des femmes et de filles musulmanes dans sa cité, leursdifficultés d’intégration, leur pauvreté. Elle nous fait partager ses sentiments par rapport à l’aide sociale, la jeunesse, l’amour, sa culture, la délinquance, l’école.
Son jeune âge lui donne ledroit de ne pas tout savoir, d’avoir des idées bien tranchées, souvent pertinentes et drôles, superficielles parfois.
Le fil rouge de son journal reste elle-même et sa famille, son père qui estretourné au Maroc avec une femme plus jeune, n'ayant jamais eu de fils avec sa femme, la laissant seule avec Doria dans leur HLM. Elle et sa mère. On la suit dans les difficultés qu’elle a à trouver uneplace dans le monde du travail, dans le monde tout court.
Pour commencer sa mère en arrivant en France croyais qu’elle s’était trompée de pays, parce que l’idée qu’elle avait de la France c’était“comme dans les films en noir et blanc des années soixante” elle n’aurait jamais imaginée vivre à la cite dans un minuscule appartement. Elle se réjouit de voir sa mère quitter petit à petit son étatd’illettrée et coincée dans sa cité se permet de rêver à un monde meilleur.
La vie dans la banlieue c’est ne pas quelque chose de facile les problèmes les plus connus :
Personnesdéfavorisées, des marginaux
pas de distraction
les bâtiments se ressemblent tous
pas d'espaces verts
violence, chômage, drogues
parents divorcés
les jeunes ont souvent des difficultés scolaires et n'ont pasd'avenir
Elle nous raconte des différents thèmes
Illettrisme (mère), profs (évaluations), mépris, répétiteur, le Savoir, les parents (mère de Nabil), éducation, avoir des enfants
Jeux...
Kiffe kiffe demain
La vie à la cite
Doria, une jeune marocaine de 15 ans, immigrée, nous décrit dans une sorte de journal ses états d’âme, sa vie dans une cité de Livry-Gargan de la banlieue parisienne.
Elle nous raconte avec ses mots, dans un style aussi humoristique qu’insolent, le rôle et les conditions de vie des femmes et de filles musulmanes dans sa cité, leursdifficultés d’intégration, leur pauvreté. Elle nous fait partager ses sentiments par rapport à l’aide sociale, la jeunesse, l’amour, sa culture, la délinquance, l’école.
Son jeune âge lui donne ledroit de ne pas tout savoir, d’avoir des idées bien tranchées, souvent pertinentes et drôles, superficielles parfois.
Le fil rouge de son journal reste elle-même et sa famille, son père qui estretourné au Maroc avec une femme plus jeune, n'ayant jamais eu de fils avec sa femme, la laissant seule avec Doria dans leur HLM. Elle et sa mère. On la suit dans les difficultés qu’elle a à trouver uneplace dans le monde du travail, dans le monde tout court.
Pour commencer sa mère en arrivant en France croyais qu’elle s’était trompée de pays, parce que l’idée qu’elle avait de la France c’était“comme dans les films en noir et blanc des années soixante” elle n’aurait jamais imaginée vivre à la cite dans un minuscule appartement. Elle se réjouit de voir sa mère quitter petit à petit son étatd’illettrée et coincée dans sa cité se permet de rêver à un monde meilleur.
La vie dans la banlieue c’est ne pas quelque chose de facile les problèmes les plus connus :
Personnesdéfavorisées, des marginaux
pas de distraction
les bâtiments se ressemblent tous
pas d'espaces verts
violence, chômage, drogues
parents divorcés
les jeunes ont souvent des difficultés scolaires et n'ont pasd'avenir
Elle nous raconte des différents thèmes
Illettrisme (mère), profs (évaluations), mépris, répétiteur, le Savoir, les parents (mère de Nabil), éducation, avoir des enfants
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