La campagne de traite négrière
Relation entre Etat/Etat ou Compagnie/Etat
A/ Les marchandises de traite
• Grande variété de demande africaine (pas uniquement des pacotilles, demande changeant chaqueannée, les européens (portugais, français, hollandais) doivent donc s’adapter à la demande)
• Cargaison des négriers : tissu (mouchoirs de Pondichéry, salampouris blancs)
- armes (fusils, armesblanches, poudre à canon)
- métal (cuivre, barre de fer)
- les cauris (coquillages étant une véritable monnaie)
- alcool (rhum, eau de vie, cognac), tabac
- pacotilles (articles de fantaisie et deparure…
B/ Des rituels à respecter
• Impôt à payer en cauris pour le navire arrivant en Afrique pour obtenir la permission de traiter : des coutumes versées au roi ou au grand du royaume
• Uncrieur ou une cloche prévient les marchands d’emmener leur marchandise
• Les européens devaient faire preuve de diplomatie, devaient connaître les préférences des autorités et s’adapter au x coutumespour réussir leur transaction, et faire les affaires les plus juteuses possibles
• Il fallait s’accorder sur les prix, les vendeurs venaient s’informer à bord du négrier, et en fonction du nombre decauris ils fixaient le prix des esclaves.
II/L’ouverture de la traite à Ouidah
A/ Négociation et acquisition des captifs
• Deux manières d’acquérir les captifs :
- Soit on faisait appel à uncourtier : prêter les marchandises au courtier, qui se rendait dans l’arrière pays pour négocier avec le vendeur
- Soit les caravanes d’esclaves arrivaient sur la côte et on faisait affaire soi même
•Analyse des esclaves avant l’entrée sur le bateau :
- Par le chirurgien du bateau (essentielle, pour éviter les épidémies sur le négrier), il a une voix décisive sur l’acquisition
- Analyse desesclaves : taille, poids, âge, dentition
(Meilleurs esclaves : pièces d’Inde, les plus mauvais : Macrons)
- Marquage au fer rouge, variant selon les nationalités et en fonction de l’époque
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