La Condition Urbaine

1ère PARTIE :
Rurbanitation: vie urbaine à la campagne
Après ville: quand les lieux autonomes dependent desormais de facteurs exogènes
Contradiction: de comportaments ruraux, mais en afectant à lieux ruraux.
Critique à les agglomerations, 13 sur 25 sont à asie, am sud ou afrique
27 sur 33 en 2015, en pays non développés
* Entre 2 mondes, de cultura urbaine et des limites, à unegéneralisée et sans limites
(cité, faire de monde, vers l’actuelle, l’urbain generalisé)
Dehors sans dedans, et dedans sans dehors villes du futur
La lutte des classes à laissé lieu à lutte des lieux, des espaces.
Refaire sociétés est refaire des lieux.
Renouer à l’esprit du citoyen et l’urbain, l’original des villes.

Condition urbaine : territoire spécifique dont la ville est la condition depossibilité
Une ville ne doit pas se resumer en des choses qu’on peut voir comme des batiments ou monuments.
L’écrivain écrit la ville du dedans, l’ingenieur et l’urbaniste écrivent celle de dehors. (voir écrvains pour savoir comment est une ville, à travers de ses œuvres et situations). Page 26 l’œil de l’écrivain dès près, l’urbaniste dès loin. La 1ere avec une version romantique et nostalgique,la 2eme avec une sensation de développement économique et technologique, sont géneralement considerées comme antagonistes. 1 : les artistes, la 2, ; ingénieurs urbanistes.
Se demande si l’urbaniste est capable de configurer une ville aux niveaux de l’artiste, en tant que développer les pratiques traditionnelles et de nouvelles de la ville, en conservant les lois et les regles à obeir. Page 26
Laville, théatre de la vie active :
L’urbaine qualifie un type d’homme
La ville : condition de possibilités de relations diverses, lieu qui donne forme à des pratiques infinies. Un espace qui rend possibles des expériences urbaines que ne sont jamais accomplies, achevées ou totalisables.
L’expérience urbaine est multidimensionnelle, donc elle orchestre des liens originaux entre le privé et lepublic, avec les 3 sortes de l’artistique, scénique et politique. Se déploie du privé au public.
L’expérience corporelle ou la mise en forme de la ville
Savoir de la ville ? comment un corps peut-il faire tenir ensemble des membres épars et diverses ? comment un corps urbaine peut-il prendre forme ?
Exemple du naissance de paris, laquelle est contraire à Londres, car elle ne s’appuie pas sur uncentre, donc ell est un assemblage aleatoire d’éléments actifs, organes donc lesquels aucun a priorité sur les autres. Paris = extension (à milieu de), Londres = juxtaposition (à côté de), NYC (entre) chacune à une forme, donc le centre, la juxtaposition et l’intervalle.
La forme d’une ville est avant tout la le parcours de tous les corps qui forment la ville, de tous les individus.
La paradoxeurbain, un esp. Fini qui rend possibles des trajectoires infinies
Le cadre spatial n’est pas arbitraire, il oscille entre un centre et une phéripherique, c’est à die une aspiration centrifuge pour le dehors, en une centripète pour le dedans. La délimitatiuon spatial est la condition de possibilités infinies et insolites.
Espace mental, cosa mentale
La forme de la ville, son image mentale, est laconjonction d’éléments hétérogènes.
Agglomération compacte, historique (passé avec présent)
La ville comme affranchissement
Ville, territoire geographique et imaginaire qui rend libre.
Tissus narratifs :
On ne peut jamais arriver à savoir comment deviendront les relations humaines dans une ville, car les ingenieur seulement planifient l’structuration des bâtiments,
La ville palimpseste
Laville moderne inscrit toute une histoire dans la présence d’un espace qui condense le temps qui précèdent.
Forme ville, mise en tension de termes opposés : centre-phéripherie, dedans-dehors, interiorité-exteriorité.
Manière petique de voir la ville : la ville comme une langue, avec sa grammaire, et chaque rue un tissue de mots.
Pour saisir la ville comme corps global, il faut sortir à...