lahaine
Páginas: 14 (3423 palabras)
Publicado: 19 de enero de 2014
LA HAINE POSTER ANALYSIS
This poster as like adulthood has a main black background which is supposed to represent negativity, anger and evil. What I like about this poster is the extreme close up of black male’s eyes which have hate in them this complements the title La Haine as it is French for the hate but also shows him on top of the title. This could have been done to show that he isrising from the hate or that he is above this hate. Also notice the police are in the photo at the bottom while he is at he top which is a complete contrast in real society where police are normally on top. Also you see three pictures right at the bottom giving this poster a bit of a chaotic and busy feel about it which gives us the audience a sense that their will be action in this movie.
Thetitle is in all capitals with a bold white font which stands out against the black in the background. It also tells the audience that it has been nominated for the 1995 Cannes film festival award. As this movie has no a list actors they are in small print at the bottom of the poster. Also the strap line in English means so far so good. This tells the audience that there are many problems and twistsin the film, with the pictures at the bottom giving an idea of the problems.
SINOPSIS
La historia de El odio está inspìrada en la muerte en 1993 de un ciudadano francés de origen árabe, Makomé, de 17 años, muerto de un disparo mientras era interrogado por la policía.
Trata la historia de tres jóvenes: Hubert, negro de origen africano, Vinz, judío y Saïd, árabe. Los tres vivenen la ciudadela de Muguets (París) que despierta en estado de sitio tras los disturbios entre jóvenes y policías, provocados porque un joven árabe de dieciséis años (Abdel Ichach) se debate entre la vida y la muerte tras un interrogatorio policial.
En esos disturbios Vinz encuentra la pistola de un policía y el arma se convierte en un instrumento de justicia. Vinz decide que matará un policíasi Abdel fallece.
Rodada en blanco y negro, El odio supone el retrato y la denuncia de una sociedad que construye el bienestar de unos pocos sobre la marginación y la ausencia de horizontes de una parte importante de la población.
Acusada de incitación a la violencia,causó un gran impacto y generó una enorme polémica hasta tal punto que el primer ministro Alain Juppé organizó una sesiónespecial con su gabinete para ver la película.
Manifestaciones y disturbios en paris
Inspiracion de la película
MALIK
Guirec Blochet, 31 ans, inspecteur stagiaire au groupe des «plaintes», photocopie des papiers dans le bureau de Compain et, «piqué par la curiosité», reste à l'audition. Le «bleu» édulcore aujourd'hui son baptême du feu. Le président Bernard Ligout luirafraîchit la mémoire. Makomé s'énerve, insulte, menace: «Je te retrouverai, je te ferai la peau.» Compain: «Ta gueule, tu me fais pas peur.» D'après Blochet, son collègue «contourne son bureau, sort une arme du tiroir, et dit Ah oui, tu vas nous tuer?». Blochet se garde bien d'intervenir. «J'ai trouvé ça scandaleux et stupide, dit-il à la barre des témoins, mais je n'ai pas eu le sentiment d'un réeldanger, juste l'impression d'assister à une séance d'intimidation, avec une sorte de surenchère et de bluff de part et d'autre. J'ai cru à une arme factice, à un revolver à grenaille, qui parfois, sont saisis lors d'interpellations et traînent dans les services de police.»
De même, l'inspecteur Thierry Guigno, 44 ans, qui, alerté par le «bruit» monte «au groupe des flag», n'essaye pas de désarmerCompain: «Je n'ai pas imaginé une seconde que l'arme était approvisionnée.» Guigno ne répète pas à la cour qu'il «a déja vu dans des commissariats des collègues intimider des gardés à vue avec des armes non chargées». Il ne rapporte pas non plus sa première version donnée à l'IGS la police des polices le soir des faits, la vision de «Compain brandissant un revolver appuyé près de la tête de...
This poster as like adulthood has a main black background which is supposed to represent negativity, anger and evil. What I like about this poster is the extreme close up of black male’s eyes which have hate in them this complements the title La Haine as it is French for the hate but also shows him on top of the title. This could have been done to show that he isrising from the hate or that he is above this hate. Also notice the police are in the photo at the bottom while he is at he top which is a complete contrast in real society where police are normally on top. Also you see three pictures right at the bottom giving this poster a bit of a chaotic and busy feel about it which gives us the audience a sense that their will be action in this movie.
Thetitle is in all capitals with a bold white font which stands out against the black in the background. It also tells the audience that it has been nominated for the 1995 Cannes film festival award. As this movie has no a list actors they are in small print at the bottom of the poster. Also the strap line in English means so far so good. This tells the audience that there are many problems and twistsin the film, with the pictures at the bottom giving an idea of the problems.
SINOPSIS
La historia de El odio está inspìrada en la muerte en 1993 de un ciudadano francés de origen árabe, Makomé, de 17 años, muerto de un disparo mientras era interrogado por la policía.
Trata la historia de tres jóvenes: Hubert, negro de origen africano, Vinz, judío y Saïd, árabe. Los tres vivenen la ciudadela de Muguets (París) que despierta en estado de sitio tras los disturbios entre jóvenes y policías, provocados porque un joven árabe de dieciséis años (Abdel Ichach) se debate entre la vida y la muerte tras un interrogatorio policial.
En esos disturbios Vinz encuentra la pistola de un policía y el arma se convierte en un instrumento de justicia. Vinz decide que matará un policíasi Abdel fallece.
Rodada en blanco y negro, El odio supone el retrato y la denuncia de una sociedad que construye el bienestar de unos pocos sobre la marginación y la ausencia de horizontes de una parte importante de la población.
Acusada de incitación a la violencia,causó un gran impacto y generó una enorme polémica hasta tal punto que el primer ministro Alain Juppé organizó una sesiónespecial con su gabinete para ver la película.
Manifestaciones y disturbios en paris
Inspiracion de la película
MALIK
Guirec Blochet, 31 ans, inspecteur stagiaire au groupe des «plaintes», photocopie des papiers dans le bureau de Compain et, «piqué par la curiosité», reste à l'audition. Le «bleu» édulcore aujourd'hui son baptême du feu. Le président Bernard Ligout luirafraîchit la mémoire. Makomé s'énerve, insulte, menace: «Je te retrouverai, je te ferai la peau.» Compain: «Ta gueule, tu me fais pas peur.» D'après Blochet, son collègue «contourne son bureau, sort une arme du tiroir, et dit Ah oui, tu vas nous tuer?». Blochet se garde bien d'intervenir. «J'ai trouvé ça scandaleux et stupide, dit-il à la barre des témoins, mais je n'ai pas eu le sentiment d'un réeldanger, juste l'impression d'assister à une séance d'intimidation, avec une sorte de surenchère et de bluff de part et d'autre. J'ai cru à une arme factice, à un revolver à grenaille, qui parfois, sont saisis lors d'interpellations et traînent dans les services de police.»
De même, l'inspecteur Thierry Guigno, 44 ans, qui, alerté par le «bruit» monte «au groupe des flag», n'essaye pas de désarmerCompain: «Je n'ai pas imaginé une seconde que l'arme était approvisionnée.» Guigno ne répète pas à la cour qu'il «a déja vu dans des commissariats des collègues intimider des gardés à vue avec des armes non chargées». Il ne rapporte pas non plus sa première version donnée à l'IGS la police des polices le soir des faits, la vision de «Compain brandissant un revolver appuyé près de la tête de...
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