Merci Professeur
Ah ! ce fameux accord du participe passé conjugué avec le verbe avoir. Il s’accorde avec l’objet quand celui-ci et placé devant le verbe. J’ai écrit une lettremais une lettre que j’ai écrite. Nous avons peiné à apprendre cet accord que doublement artificiel : accord avec l’objet et dans le cas d’une antéposition. Au départ les choses étaient de plusnaturel car en ancien français le verbe avoir possédé un sens fort et plein : J’ai une lettre écrite, comme on dirait aujourd’hui j’ai une lettre d’écrite ou une bouillabaisse de cuite. C’est le poèteClément Marot qui au seizième siècle a édicté la règle : Accord du participe passé conjugué avec avoir avec l’objet direct quand il est placé devant le verbe. Cet accord nous le respectons à l’écrit.Beaucoup moins à l’oral surtout si dans la phrase il y a quelques pauses, c’est une lettre qu’il y a longtemps dans un moment du d’humour j’ai écrit brutalement. On peut donc penser qu’à terme dans laconversation le participe deviendra invariable dans cette position. Voltaire disait: Clément Marot a rapporté deux choses d’Italie : la vérole et l’accord du participe passé. Il ajoutait : « je penseque c’est le second qui a fait le plus de ravages ».
Accord du participe passé avec avoir
Ah ! ce fameux accord du participe passé conjugué avec le verbe avoir. Il s’accorde avecl’objet quand celui-ci et placé devant le verbe. J’ai écrit une lettre mais une lettre que j’ai écrite. Nous avons peiné à apprendre cet accord que doublement artificiel : accord avec l’objet et dans lecas d’une antéposition. Au départ les choses étaient de plus naturel car en ancien français le verbe avoir possédé un sens fort et plein : J’ai une lettre écrite, comme on dirait aujourd’hui j’aiune lettre d’écrite ou une bouillabaisse de cuite. C’est le poète Clément Marot qui au seizième siècle a édicté la règle : Accord du participe passé conjugué avec avoir avec l’objet direct quand...
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