Philosopie De La Photographie
Páginas: 14 (3489 palabras)
Publicado: 29 de enero de 2013
Travail théorique sur les livres:
La chambre claire
et
Pour une philosophie de la photographie
Borja Lebaniegos Campillo
Étudiant Erasmus
Synthèse de la pensée de chaque auteur
Dans l´essai pour une philosophie de la photographie Vilém Flusser prend comme début pour faire sa réflexion sur la photographie sa définition. Pour lui, la photographie est une imageproduite par un appareil photo qui suit les indications d´un programme, ou encode aussi des concepts, dont fonction est donner de l’information. L´intention du photographe est, comment il dit, « d´informer les autres et de s´immortaliser dans sa mémoire grâce à ses photos ». Aussi, son invention est prise comme un des moments plus importants de changement fondamental dans l´histoire de l’humanité et çalutte contre la textolâtrie.
Il dit que l´homme, en sentant en la possibilité sûre de la mort, sent le besoin de transformer à l´homme en objet, de faire l’improbable et informer, en utilisant la photographie comme moyen pour le faire.
Flusser prend à la photographie comme l´élément pour entreprendre une critique à la société contemporaine comme un monde dominé par les appareilstechniques. Il fait une critique à la production et distribution de l´information y comme elle procède sur les individus et le fonctionnement de la société. Il critique que les appareils, en même temps qu´ils allouent des nouvelles possibilités, déterminent et limite l´imagination et la création de qui exécute cette activité-la.
Pour lui la photographie est une image technique et différente à une imagetraditionnelle. Elle serait une image symbolique de deux dimensions qui offre la capacité d´abstraction d´information extérieure pour faciliter la lecture. Les images sont médiatrices entre l´home et le monde, pour leur permettre une beaucoup compréhension.
Selon Flusser les images techniques sont « des abstractions du troisième degré :elles abstraient à partir de textes qui abstraient àpartir d´images traditionnelles, lesquelles abstraient elles-mêmes à partir du monde concret » parce qu’elles « absorbent en elles toute histoire et constituent une mémoire social en éternelle rotation ». Selon Flusser les images techniques signifient des concepts et paraissent que le monde signifie en elles-mêmes, en plus il est sa produite, le produit des images. La société a commencé à utiliserles images pour se guider guider dans le monde, pour apprendre la réalité, pour expliquer les choses, mais surtout, pour distribuer de l’information (ce n’est pas bizarre que l´actuelle société s´appelle la Société de´Information) ; avant elles étaient utilisées seulement pour représenter.
Le photographe reproduit, traite et transmet des symboles. Les appareils ont l´intention de changer lemonde. La samara est un appareil simple et transparent. Le photographe sélectionner à ce qu´il est à l’affût. Cependant, les décisions du photographe ne sont pas indépendantes de la caméra parce qu´il est limité par l´appareil, le photographe « doit vouloir ce que peut l´appareil », sa liberté est limitée par le programme de l´appareil de photo.
Néanmoins, c´est plutôt une bataille entre l´homme etl´appareil, car l´appareil est en constant développement puisqu’il obtient un constant rapport de feed-back de la société en permettant son amélioration. « Ils luttent l´un contre l´autre », la machine contre l´homme. « L´univers photographique est un moyen de programmer la société (…) pour un comportement magique en feed-back », mais aussi programmer à la société en dés, en pions et enfonctionnaires » des appareils de photo.
De cette façon, les photographies ont pour but programmer une conduite de la société quand ils ne sont pas pris de manière critique. Selon Flusser « la meilleure photographie sera celle où l´intention humaine du photographe aura vaincu le programme de l´appareil en un mot, celle où le photographe aura soumis l´appareil à l´intention humaine » sinon l´homme...
La chambre claire
et
Pour une philosophie de la photographie
Borja Lebaniegos Campillo
Étudiant Erasmus
Synthèse de la pensée de chaque auteur
Dans l´essai pour une philosophie de la photographie Vilém Flusser prend comme début pour faire sa réflexion sur la photographie sa définition. Pour lui, la photographie est une imageproduite par un appareil photo qui suit les indications d´un programme, ou encode aussi des concepts, dont fonction est donner de l’information. L´intention du photographe est, comment il dit, « d´informer les autres et de s´immortaliser dans sa mémoire grâce à ses photos ». Aussi, son invention est prise comme un des moments plus importants de changement fondamental dans l´histoire de l’humanité et çalutte contre la textolâtrie.
Il dit que l´homme, en sentant en la possibilité sûre de la mort, sent le besoin de transformer à l´homme en objet, de faire l’improbable et informer, en utilisant la photographie comme moyen pour le faire.
Flusser prend à la photographie comme l´élément pour entreprendre une critique à la société contemporaine comme un monde dominé par les appareilstechniques. Il fait une critique à la production et distribution de l´information y comme elle procède sur les individus et le fonctionnement de la société. Il critique que les appareils, en même temps qu´ils allouent des nouvelles possibilités, déterminent et limite l´imagination et la création de qui exécute cette activité-la.
Pour lui la photographie est une image technique et différente à une imagetraditionnelle. Elle serait une image symbolique de deux dimensions qui offre la capacité d´abstraction d´information extérieure pour faciliter la lecture. Les images sont médiatrices entre l´home et le monde, pour leur permettre une beaucoup compréhension.
Selon Flusser les images techniques sont « des abstractions du troisième degré :elles abstraient à partir de textes qui abstraient àpartir d´images traditionnelles, lesquelles abstraient elles-mêmes à partir du monde concret » parce qu’elles « absorbent en elles toute histoire et constituent une mémoire social en éternelle rotation ». Selon Flusser les images techniques signifient des concepts et paraissent que le monde signifie en elles-mêmes, en plus il est sa produite, le produit des images. La société a commencé à utiliserles images pour se guider guider dans le monde, pour apprendre la réalité, pour expliquer les choses, mais surtout, pour distribuer de l’information (ce n’est pas bizarre que l´actuelle société s´appelle la Société de´Information) ; avant elles étaient utilisées seulement pour représenter.
Le photographe reproduit, traite et transmet des symboles. Les appareils ont l´intention de changer lemonde. La samara est un appareil simple et transparent. Le photographe sélectionner à ce qu´il est à l’affût. Cependant, les décisions du photographe ne sont pas indépendantes de la caméra parce qu´il est limité par l´appareil, le photographe « doit vouloir ce que peut l´appareil », sa liberté est limitée par le programme de l´appareil de photo.
Néanmoins, c´est plutôt une bataille entre l´homme etl´appareil, car l´appareil est en constant développement puisqu’il obtient un constant rapport de feed-back de la société en permettant son amélioration. « Ils luttent l´un contre l´autre », la machine contre l´homme. « L´univers photographique est un moyen de programmer la société (…) pour un comportement magique en feed-back », mais aussi programmer à la société en dés, en pions et enfonctionnaires » des appareils de photo.
De cette façon, les photographies ont pour but programmer une conduite de la société quand ils ne sont pas pris de manière critique. Selon Flusser « la meilleure photographie sera celle où l´intention humaine du photographe aura vaincu le programme de l´appareil en un mot, celle où le photographe aura soumis l´appareil à l´intention humaine » sinon l´homme...
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