Trabajos

La vasectomie
La vasectomie est une méthode de stérilisation masculine. C’est une opération mineure qui consiste à couper et bloquer les canaux déférents qui transportent les spermatozoïdes à partir des testicules. Lors d’une vasectomie, les canaux déférents sont sortis hors du scrotum (c’est-à-dire l’enveloppe contenant les testicules) puis sont bloqués et coupés, empêchant ainsi le passage desspermatozoïdes. Ceci n’empêche pas l’éjaculation. En effet, les spermatozoïdes ne représentent en moyenne que 2 à 3% de l’éjaculation. Ce sont les vésicules séminales situées au-dessus de la prostate, donc plus haut que le site de la vasectomie, qui produisent la plus grande partie du liquide qui est éjaculé. La production des spermatozoïdes par les testicules continue après la vasectomie. Il sefait un équilibre entre les cellules produites et les cellules qui meurent, celles-ci étant réabsorbées par l’organisme.
* Responsabilise les hommes en matière de contraception et de santé sexuelle.
* N’entraîne pas de changement dans la fonction sexuelle (l’éjaculation, l’érection et le désir sexuel ne sont pas affectés par la vasectomie).
* Pour la partenaire : n’interfère pas avecle système hormonal ou le cycle menstruel. De plus, cette méthode peut être utilisée en période d’allaitement.
* Pas d'effets indésirables à long terme.
* Méthode fiable et permanente.
* Enraye les coûts associés à la contraception.
* N’entrave pas la spontanéité durant les rapports sexuels.
LIGATURE DES TROMPES
* La ligature des trompes de Fallope (conduits par où l' ovule serend à l’utérus) est une intervention qui consiste à bloquer les trompes afin d’empêcher l’ovule de se rendre à l’utérus. Les trompes étant bloquées, l’ovule ne peut pas descendre dans l’utérus et ne peut donc pas entrer en contact avec des spermatozoïdes, ce qui empêche toute possibilité de fécondation.
* La ligature des trompes n’affecte en rien le cycle de la femme. Ainsi, la productiond’hormones, l’ovulation et les menstruations vont se poursuivre comme avant.
* N’interfère pas avec le système hormonal ni la durée du cycle menstruel.
* N’entraîne pas de changement dans la fonction sexuelle.
* Peut être utilisée en période d’allaitement.
* Pas d’effets indésirables à long terme.
* Méthode fiable et permanente.
* Enraye les coûts associés à la contraception.* N’entrave pas la spontanéité durant les rapports sexuels.
Avec plus de 24 000 cas déclarés en 2011, les infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS)
représentent 73 % de l’ensemble des infections recensées dans le Registre central des maladies à
déclaration obligatoire (MADO).
Certaines situations méritent une attention particulière :
- l’augmentation des ITSS chez lesjeunes de 15 à 24 ans, qui ne se limite plus à l’infection à
Chlamydia trachomatis et à l’infection gonococcique mais concerne aussi la syphilis infectieuse.
L’augmentation du nombre de nouveaux diagnostics de VIH enregistrés en 2011 chez les jeunes
hommes ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes (HARSAH), est aussi préoccupante;
- le défi constant posé par la résistance dugonocoque aux antibiotiques utilisés pour le traitement
de cette infection;
- la persistance de cas de lymphogranulomatose vénérienne au-delà de cas isolés acquis à
l’étranger;
- l’importance de poursuivre la vaccination contre l’hépatite B, notamment auprès des personnes à
risque qui n’ont pas bénéficié du programme en milieu scolaire;
- la prévalence extrêmement élevée de l’hépatite C chez lesutilisateurs de drogues par injection
(UDI);
- le nombre toujours grandissant de personnes vivant avec le VIH et la persistance de la
transmission du VIH au sein de diverses populations, particulièrement les HARSAH.
Infection génitale à Chlamydia trachomatis : jusqu’où ira la hausse?
o L’infection génitale à Chlamydia trachomatis demeure la plus fréquente des ITSS à déclaration...