Violence Et Medias

Violence Et Médias


Terminale S
Dans les formes médiatiques, la violence joue un rôle très important, dans les reportages télévisés, les films, l'internet, les journaux, etc. Les médias, sont omniprésents dans nos vies, et nous, les jeunes, sommes de plus en plus en contact avec ces images violentes. On pense que ces images sont liés directement avec les comportements des jeunes car ilssont les plus influençables.
Nous pouvons donc poser la question suivante: De quelle maniére peuvent les médias rendre violents au gens, plus précisement au jeunes ? Par médias, nous analyserons toutes les formes existantes, soit la radio, les journaux, l'Internet, les films, la publicité ,mais sourtout la télévision. Par jeunes, nous comprenons toutes les individus ayant moins de 20 ans. Etfinalement par violence, nous avons tous les actes blessants et discriminants sur le plan physique ou psychologique.
Selon l'information venant de la Pontificia Universidad Católica de Chile, l’histoire de la télévision chilenne débute en les années 50 et la seule programmation régulière était sur les ondes de deux stations : Pontificia Universidad Católica de Chile et la RCA Chilena dans le systemeNTSC comme Televisora RCA-El Mercurio Chile Canal. En 1998, une enquête de Statistiques de Santiago démontrait que 98% des foyers chiliens possédaient un téléviseur dont 67% étaient câblés.
L’augmentation de l’information médiatique sur les actes violents est importante dans tout le monde. Mais d’autres auteurs concluent que les médias donnent une image déformée de la criminalité, en exagérantla fréquence et la prévalence de crimes violents sur les autres types de criminalité. Cette situation est liée aussi de la présence économique, politique et souvent les médias idéologiques qui définissent des stratégies d'action en vertu de ces éléments (Ramos et Guzman, 2000).
Au-delà des raisons pour lesquelles la violence s’est installée dans la communication quotidienne, il est nécessaire deconnaitre ses conséquences. . Alors il convient de noter que cet impact a différentes conséquences selon les caractéristiques du récepteur de l’information, la principale hypothèse que la présence de la violence a trois impacts: la coutume, la répétition et la peur.
La coutume est établie par l'exposition prolongée à la violence montrée par les médias, peut développer une manque de sensibilitédes sujets émotionnels à la violence du monde réel et les victimes de ceci. D’autre part cette situation peut même conduire à l'indifférence de la victimisation. Ainsi, les faits qui pourraient autrement être générés
Ainsi, les faits qui pourraient être rejettes par la population devient quotidiennes pour les gens. Des exemples de ce type est la couverture des kidnappings en Argentine et auBrésil, faits de violences policières enregistré live lapidation communautaire, délinquants, entre autres. Ainsi, aujourd'hui, il est rare de trouver des photos de circonstances de morts ou de personnes qui souffrent où le cas de la qualité humaine est abandonnée et devient un élément de la série télévision. Malheureusement, ces couvertures représentent des niveaux élevés de rating de telle sorte quenon seulement la population est insensible à ces situations mais aussi l'utilisateur fréquent.
D'autre part, on remarque que les écrans de violence répétés peuvent conduire à la répétition. Cet argument a été utilisé en particulier dans les cas de violence dans les écoles aux États-Unis, où la forme dont ces actes se développent sont liées avec les programmes de télévision et / ou jeuxélectronique. Ainsi, l'événement violent peut générer un faux « glamour »  du délinquant pour obtenir ses minutes de gloire en apparaissant à la télévision.
Enfin, la présence de violence dans les médias est considérée comme un élément clé dans la perception générale d'insécurité parmi la population.
Médias et les craintes
L'impact des médias dans le renforcement de sentiment d'insécurité de la...