L'Industrie Culturelle

L'industrie Culturelle.

« Aucune infamie ne s'amende parce qu'elle se déclare telle ». Theodor W. Adorno. Dossier réalisé par: Guillermo Rosado

Une décision très personnelle: Pourquoi avoir choisi Adorno? Le texte de T. Adorno parle de l'industrie culturelle et moi je suis très liée a la production de l'ouvre d'art parce que mon père est sculpteur. Depuis je suis petit je me suis confrontéà la création industriel et à une sorte de création artisanal qu'a porté des valeurs de identité qu'on peut pas trouvé dans des produits répétitifs et aliénantes. La question de l'industrie culturelle m'intéresse particulièrement pour le produit final que sort de une production pareil mais surtout pour les mécanismes que vont opérer sur le créateur à l'heure de concevoir son message, l'œuvre, sonproduit que va fonctionner comme pièce d'échange dans les marches. Les autres auteurs qui sont dans le reste des textes sont très intéressantes aussi, mais la vérité est que je ne me sens pas attiré par l'idée de reparler à un spécialiste de Bordieu sur Bordieu. Qu'est ce que je peux raconter de neuf? Par contre faire une analyse comparative avec la presse pour voir comme le concept d’industrieculturelle fait parti de notre réalité sociale me parait beaucoup plus attirante. À propos de l'industrie culturelle j'ai eu un professeur à la Université de Sevilla l'année précédent qui nous a bien parlé de la même notion en question, et lui a développé de concepts parallèles comme « culture populaire » et « folklore ». L'enseignant Juan Carlos Serrato avait travaillé avec nous entre autresthèmes sur la rationalisation de l'information et la production informative et la logique du valeur et la production d'imaginaire. Maintenant que je dois comparer deux textes comme de messages codifiés dans deux langages différentes et avec deux intentions ou buts bien différenciés, ses explications à propos de la conception des messages va à être vraiment utile. Plusieurs personnes m'ont demandé pourquoi n'est pas faire mon dossier sur le même auteur su le quel j'ai fait l'exposé, et la réponse et simple, pour pouvoir connaître plus et ne rester pas dans le même sujet. Bernard Floris a été une découverte fantastique, parce que je n'ai pas eu l'occasion de lui lire pendant mon parcours universitaire en Espagne. Floris m'a permis comprendre mieux les relations de pouvoir dans des milieuxd’inégalité et comme les techniques et les pratiques de communication peuvent aider pour légitimer un pouvoir. Le but de mon dossier, j'aimerais plutôt que soi quelque chose de nouveaux que me apprendre et soi un défit.

Comme plus je dois rajouter la relation entre T. Adorno et W. Benjamin mon auteur préféré de l'École de Francfort et son texte à lequel on va faire plusieurs allusions « La obra de arteen la época de su reproductibilidad técnica » Dans ce texte on apprendre la notion d’aura de la pièce d’art, une idée complexe pour la mettre en place dans le monde de la musique actuel qu’a besoin de systèmes de production et distribution pour sa consommation moderne liées a sa réputation et reconnaissance social. Ces sont un tas de bonnes raisons pour rester accroché au texte de Adorno que sansêtre récent garde un grand valeur d'actualité et ses concepts son bien instaurés dans notre vocabulaire commun, même si des fois on les utilise sans connaitre bien son référant et en faisant une utilisation réductionniste des termes.

Naissance de la théorie critique: En 1923, il se fonde à Francfort l'Institute of Social Research Associate à l'Université de Francfort. L'institut travaille defaçon indépendante et est considéré comme le début pour l'École de Francfort. Après des années d'essais avec peu de ressources, en 1931, fait un saut quantitative quand commence une recherche plus globale liée à un certain nombre d'intellectuel de différents domaines de la pensée, l'esthétique, l'art, l'anthropologie, la sociologie et en particulière en philosophie Theodor Adorno, Walter...