L’etat equatorien face à la décentralisation et aux autonomies
Páginas: 35 (8685 palabras)
Publicado: 23 de agosto de 2012
L’Etat Equatorien face à la décentralisation et aux autonomies.
Mónica Maldonado Aguirre
Quito, 22 janvier 2002.
Index
1. Introduction 3
1.1. Antécédents 3
1.2. La décentralisation en Amérique Latine 3
1.3. La décentralisation en Equateur 5
1.3.1. Antécédents historiques 6
1.3.2. Situation actuelle 7
1.3.3. Situation du pays par rapport à ladécentralisation 9
1.4. Définitions 10
1.5. Justification 16
2. Propositions de la décentralisation et les autonomies. 18
2.1. Acteurs de la décentralisation et des autonomies. 18
2.2. Plan National de Décentralisation 19
2.3. Le Avant projet pour la Loi des Autonomies 24
3. Obstacles à la décentralisation 38
3.1. Les problèmes de l’application 38
3.2. Limitations du processus dedécentralisation 40
4. Analyse et opinions 43
5. Conclusions 45
6. Bibliographie 48
Introduction
1 Antécédents
Dans les années dernières la discussion sur la décentralisation est devenue plus forte dans les pays du Tiers Monde. Le sujet est apparu vu le besoin de trouver une solution urgente aux différentes crises des pays. On essaie detrouver un nouveau statut juridique, politique, économique et géographique pour résoudre les besoins de développement de chaque pays.
2 La décentralisation en Amérique Latine
La situation politique de l’Amérique Latine est le résultat direct de l’histoire du monde occidental et du modèle politique basé sur l’eurocentrisme. Nous avons reçu l’héritage d’un Étatcentraliste où on trouve l’imposition étatique.[1]
En Amérique Latine, les années 1980 ont été celles du tournant néolibéral, de l’ouverture économique de la transition démocratique et de la décentralisation.
La décentralisation est un concept à la mode en Amérique latine, trop récent pour en tirer un bilan. Le mouvement de décentralisation commence au milieu des années 80 à partir d'unedouble tendance:
• Le processus de démocratisation, qui apporte un changement des structures de l'Etat, s'accompagne pour la première fois, après la chute des dictatures, de l'élection de maires.
• Le passage aux politiques néo-libérales de la dernière décennie : les modèles construits après-guerre sont abandonnés au niveau de l'Etat et des universités.
Suite à la crise dela dette au Mexique en 1982, les organisations multilatérales, et en particulier le FMI, ont imposé un nouveau modèle de gestion basé sur le système néo-libéral : moins d'Etat et plus de gestion autonome et de secteur privé[2]. La décentralisation est l'une des conséquences de ce processus de rétrécissement des compétences de l'Etat qui transfert certaines compétences au niveau territorial. Sousl'influence de la dynamique libérale, l'Etat central abandonne ses prérogatives au profit d'une gestion administrative non articulée, indépendante.
A l’heure actuelle on trouve qu’en Amérique Latine il y a un changement de l'administration centrale et de l'administration territoriale entraînant un renforcement du processus de démocratisation. La tendance dans le dernier siècle est lacréation de mouvements politiques autour des élus, des maires qui deviennent alors des interlocuteurs privilégiés pour la coopération
L’Argentine, le Brésil, le Chili et le Mexique sont les pays latino-américains plus développés en ce qui concerne la décentralisation[3].
3 La décentralisation en Equateur
Il y a une décennie, l’Equateur cherche un chemin destructuration d’un État moderne où l’intérêt général national se situe au dessous de l’intérêt particulier, où les lois soient conçues d’une façon universelle qui renforce la permanence des institutions et oblige au gouvernement de respecter les programmes établis.
4 Antécédents historiques
En Equateur le sujet de la décentralisation a été ajournée pour beaucoup de...
Mónica Maldonado Aguirre
Quito, 22 janvier 2002.
Index
1. Introduction 3
1.1. Antécédents 3
1.2. La décentralisation en Amérique Latine 3
1.3. La décentralisation en Equateur 5
1.3.1. Antécédents historiques 6
1.3.2. Situation actuelle 7
1.3.3. Situation du pays par rapport à ladécentralisation 9
1.4. Définitions 10
1.5. Justification 16
2. Propositions de la décentralisation et les autonomies. 18
2.1. Acteurs de la décentralisation et des autonomies. 18
2.2. Plan National de Décentralisation 19
2.3. Le Avant projet pour la Loi des Autonomies 24
3. Obstacles à la décentralisation 38
3.1. Les problèmes de l’application 38
3.2. Limitations du processus dedécentralisation 40
4. Analyse et opinions 43
5. Conclusions 45
6. Bibliographie 48
Introduction
1 Antécédents
Dans les années dernières la discussion sur la décentralisation est devenue plus forte dans les pays du Tiers Monde. Le sujet est apparu vu le besoin de trouver une solution urgente aux différentes crises des pays. On essaie detrouver un nouveau statut juridique, politique, économique et géographique pour résoudre les besoins de développement de chaque pays.
2 La décentralisation en Amérique Latine
La situation politique de l’Amérique Latine est le résultat direct de l’histoire du monde occidental et du modèle politique basé sur l’eurocentrisme. Nous avons reçu l’héritage d’un Étatcentraliste où on trouve l’imposition étatique.[1]
En Amérique Latine, les années 1980 ont été celles du tournant néolibéral, de l’ouverture économique de la transition démocratique et de la décentralisation.
La décentralisation est un concept à la mode en Amérique latine, trop récent pour en tirer un bilan. Le mouvement de décentralisation commence au milieu des années 80 à partir d'unedouble tendance:
• Le processus de démocratisation, qui apporte un changement des structures de l'Etat, s'accompagne pour la première fois, après la chute des dictatures, de l'élection de maires.
• Le passage aux politiques néo-libérales de la dernière décennie : les modèles construits après-guerre sont abandonnés au niveau de l'Etat et des universités.
Suite à la crise dela dette au Mexique en 1982, les organisations multilatérales, et en particulier le FMI, ont imposé un nouveau modèle de gestion basé sur le système néo-libéral : moins d'Etat et plus de gestion autonome et de secteur privé[2]. La décentralisation est l'une des conséquences de ce processus de rétrécissement des compétences de l'Etat qui transfert certaines compétences au niveau territorial. Sousl'influence de la dynamique libérale, l'Etat central abandonne ses prérogatives au profit d'une gestion administrative non articulée, indépendante.
A l’heure actuelle on trouve qu’en Amérique Latine il y a un changement de l'administration centrale et de l'administration territoriale entraînant un renforcement du processus de démocratisation. La tendance dans le dernier siècle est lacréation de mouvements politiques autour des élus, des maires qui deviennent alors des interlocuteurs privilégiés pour la coopération
L’Argentine, le Brésil, le Chili et le Mexique sont les pays latino-américains plus développés en ce qui concerne la décentralisation[3].
3 La décentralisation en Equateur
Il y a une décennie, l’Equateur cherche un chemin destructuration d’un État moderne où l’intérêt général national se situe au dessous de l’intérêt particulier, où les lois soient conçues d’une façon universelle qui renforce la permanence des institutions et oblige au gouvernement de respecter les programmes établis.
4 Antécédents historiques
En Equateur le sujet de la décentralisation a été ajournée pour beaucoup de...
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