Optimal a1

La societe française, ainsi que le reste des sociétés, a toujours été divisée soit par le concepte de clases sociales de Karl Marx, qui peignait une visión conflictive de la société,ou celui de Max Weber, qui lui classait les individus suivant des critères économiques tels que l’accès aux biens et aux services, soit par le concept de groupes de statut de Weber,qui separit la societe en terme d’honneur et de prestige. Mais même si la société n’a jamais montré une cohésion sociale totale, c’est-à-dire , une situation d’intégration etsolidarité très forte entre individus et communauté, elle relève l’xistence de liens sociaux de relations entre individus appartenant à une même société et établissant des règles sociales(normaes, valeurs, moeurs). En effet, il existent des liens horiontaux, c’est-à-dire des liens interpersonnels (liens familiaux, professionels et de voisinage) et des liens verticaux,qui unissentl’individu à la communauté (liens civiques, de citoyennete et de protection sociale). C’est à travers des instances d’intégration (instances qui favorisent l’union del’individu avec sa société), parmis lesquelles le travail en occupe une position protagonista, que les individus participent à la cohésion sociale. le travail est source d’intégration, ,maisles mutations subies par ce secteur depuis queques années relèveraient dejà les limites de cette instance qui ne protègerait plus les individus contre l’exclusion, c’est-à-dire,contre le fait d’être mis à part de la sociéte. Ainsi, l’emploi constitue-t-il toujours une instance d’intégration? Dans un premier temps, nous allons voir en quoi l’emploi favorisel’intégration de l’individu à la soiété française, pour montrer dans un deuxième temps, les mutations qui y ont eu lieu et qui sont responsables des actuelles limites de cette instance