Lettre d'Oppinion

Madame marie,
Je m’adresse à vous pour exprimer mon opinion, dans votre article de « ne touche pas à ma langue » où vous faites référence à certaines modification de la loi 101, comme dansl`article 58, qui protège la langue Française dans les aspects de l'affichage public et de la publicité commerciale. Mais quand on parle du Québec, qui est considéré une région bilingue (français-anglais)Pensez-vous que maintenir le français comme langue primaire est un privilège pour tout le monde?
Pour ma part, étant une émigrante hispanophone, je dirais que quand on fait le processus pourémigrer et quand on arrive dans un nouveau pays on doit s’adapter à sa situation et a ses cultures, dans ce cas la province du Québec a le français comme langue maternelle et je suis d’accord derespecter vos racines en conservant et en protégeant cette tradition, et bien sûr si on se familiarise avec la culture du pays d’accueil on y sera bienvenu et on y aura les mêmes privilèges que les natifs.D’abord, je dirai que le français est au cœur de l’identité québécoise. Près de 90 % des Québécois francophones estiment que la langue française est menacée à Montréal. Une opinion partagée par moinsd'un anglophone ou allophone sur quatre, révèle un sondage Web Léger Marketing-Association d'études canadiennes-Quebec Community Groups Network dévoilé à l'avant-veille de la Fête nationale. Et dansce sens on voit que, le français est la langue publique commune du Québec, pourtant y parler français le distingue des autres provinces du Canada et des États-Unis d’Amérique et les ouvre auxpersonnes des pays de la Francophonie sur les cinq continents. Protégé par la Charte de la langue française, dans la loi 101, le français vise à rassembler le Québec, assurer sa cohésion et nourrir sonidentité. Ce qui nous amène à dire que le français est la condition de la pleine intégration de tous ceux et celles qui font du Québec leur patrie d’adoption, personnellement je pense que conserver...