Photo Et Cinéma
Páginas: 2 (471 palabras)
Publicado: 23 de abril de 2011
Ingrid Bergman dans
Stromboli, Terre de Dieu(1950)
(Stromboli, Terra di Dio)
De
Roberto Rossellini
Eva Mirsky L3 Etudes Cinématographiques Université Paris 7
Le 5 janvier 2010Sommaire
Introduction
A)Un environnement étranger, un corps étranger, une caméra nouvelle
1)Une « grande blonde sur un volcan »(le « contre-emploi » de l’actrice)
2)L’acteur-personnage : unjeu tout en « décomposition »
3) L’anomalie rossellinienne : le refus du morcellement
B) Une « pure expérience visuelle et sonore » : le sublime
1)L’ascension du volcan : le chemin de croixde l’acteur-personnage
2)La révélation dans le sublime
Introduction
« Le film n’est plus une fin en soi, une œuvre achevée, il vise l’avènement, via l’acteur, d’une vérité qui ne pourraêtre pleinement réalisée que par le spectateur « dans l’expérience solitaire de la traversée du film » »
Alain Bergala, ici cité par François Niney dans son œuvre L'épreuve du réel à l'écran: essai surle principe de réalité documentaire (2002),résume non seulement le principal enjeu du film Stromboli, Terre de Dieu (Stromboli, Terra di Dio) de Roberto Rossellini (1950) mais il nous donne aussi,plus généralement, une « définition » du cinéma néoréaliste italien de l’après-guerre (l’une des trois formes modernes de ce que Niney appelle le « jeu de la vérité »)
Dans cette conception nouvellel’acteur-personnage se trouve en suspens non plus dans une « narration » mais dans une recherche, une quête permanente.
C’est dans ce contexte que l’actrice Ingrid Bergman- star hollywoodienne parexcellence usée par le regard du public-investit le champ de ce « cinéma-vérité » rossellinien dans les années 50. Son visage, symbolisant l’altérité par excellence(notons que Rossellini ressentait uneaversion certaine vis-à-vis du cinéma classique hollywoodien) est transplanté dans une nature sauvage, vierge de tout regard et comme saisie à son origine.
Après la guerre, Karen, une jeune femme...
Stromboli, Terre de Dieu(1950)
(Stromboli, Terra di Dio)
De
Roberto Rossellini
Eva Mirsky L3 Etudes Cinématographiques Université Paris 7
Le 5 janvier 2010Sommaire
Introduction
A)Un environnement étranger, un corps étranger, une caméra nouvelle
1)Une « grande blonde sur un volcan »(le « contre-emploi » de l’actrice)
2)L’acteur-personnage : unjeu tout en « décomposition »
3) L’anomalie rossellinienne : le refus du morcellement
B) Une « pure expérience visuelle et sonore » : le sublime
1)L’ascension du volcan : le chemin de croixde l’acteur-personnage
2)La révélation dans le sublime
Introduction
« Le film n’est plus une fin en soi, une œuvre achevée, il vise l’avènement, via l’acteur, d’une vérité qui ne pourraêtre pleinement réalisée que par le spectateur « dans l’expérience solitaire de la traversée du film » »
Alain Bergala, ici cité par François Niney dans son œuvre L'épreuve du réel à l'écran: essai surle principe de réalité documentaire (2002),résume non seulement le principal enjeu du film Stromboli, Terre de Dieu (Stromboli, Terra di Dio) de Roberto Rossellini (1950) mais il nous donne aussi,plus généralement, une « définition » du cinéma néoréaliste italien de l’après-guerre (l’une des trois formes modernes de ce que Niney appelle le « jeu de la vérité »)
Dans cette conception nouvellel’acteur-personnage se trouve en suspens non plus dans une « narration » mais dans une recherche, une quête permanente.
C’est dans ce contexte que l’actrice Ingrid Bergman- star hollywoodienne parexcellence usée par le regard du public-investit le champ de ce « cinéma-vérité » rossellinien dans les années 50. Son visage, symbolisant l’altérité par excellence(notons que Rossellini ressentait uneaversion certaine vis-à-vis du cinéma classique hollywoodien) est transplanté dans une nature sauvage, vierge de tout regard et comme saisie à son origine.
Après la guerre, Karen, une jeune femme...
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