Quatrième de couverure de nos animaux préférés
Quatrième de couverture L’univers d’Antoine Volodine se situe en dehors de toute connaissance acquise et du contexte hexagonal, il est rupture. Ainsi, le dernier romande Volodine s’inscrit dans un continuum romanesque bâtit titre après titre dans le sillage de la science-fiction. Nos animaux préférés sont bien plus que nos animaux de compagnie, ils sont notre partobscure. Tableau d’un univers apocalyptique, on y croise Wong, l’éléphant qui ouvre et ferme le récit, les rois Balbutiar, mais aussi les sept reines sirènes. Ce roman est donc rythmé par unesuccession d’« entrevoûtes » visuelles fournit par les différents protagonistes nous décrivant « le chaos historique et ses soubresauts comme une sorte de carnaval ou plus grand chose n’a d’importance [...] ».Volodine est l’auteur de plusieurs romans, dont Rituel du mépris, Grand Prix de science-fiction en 1987. Homme de lettres d’une « littérature étrangère écrite en français », il signe avec Nos animauxpréférés son quinzième roman post-exotique. Argumentaire commercial
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Une succession d’ »entrevoûtes ». Dans Nos animaux préférés, la fin du monde est délivrée par plusieurs voix (l’éléphantWong, les mollusques-rois Balbutiar, et les sept sirènes.). La structure fictionnelle en miroir, savamment orchestrée par Volodine, entremêle les différentes voix afin de mieux décrire le chaos. Unefiction apocalyptique qui ne manque pas d’humour. Dans la lignée de ses précédents romans, Nos animaux préférés est un roman sombre et désespéré. Roman carcérale de la fin du monde dans lequel l’homme estabsent, les animaux sont notre part obscure, mais ils sont aussi le moyen de se moquer des turpitudes de l’humanité, responsable de sa propre extermination. Plus qu’un roman, la construction d’ununivers et de son lexique. Plusieurs tonalités narratives (le pastiche historique, le discours savant, le lyrisme), ainsi que plusieurs époques se suivent et s’entremêlent afin de créer un univers...
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