Adjetivos

Petit histoire

Un homme, parmi une foule qui vint de descendre d’un bateau, se balade. Il eut un air particulier cet homme, entre les gens hâtifs, des touristesparisiens, une multitude des hommes et femmes d’affaires, il ne s’inquiéta pas, même comme s’il restait immobile. Quand je pus voir son visage, il semblait submergé dans dessoucis profonds ou peut-être une seule tristesse, fait de toute une existence des malheurs. Dans un endroit plus proche de moi, ombré par les bâtiments du commerce, je le vusmieux : Il était barbu et ses yeux qu’on vus comme des taches sombres, s’éclairèrent à l’abri du soleil et dévirent deux rayons blessants. Submergé dans les profondeursde sa regarde, je ne me rendis pas conte qu’il s’approcha et, soudainement, j’entendis une voix flatteuse avec un accent étranger qui me demanda des instructions pour allerà la piste cyclable la plus porche, complètement déçu, je lui fis des indications ; les passages piétons à suivre en dépassant le port maritime etc.

Encore un autre échec,tous les week-ends en attendant une personnalité lumineux qui pourrait allumer ou quand même bruler cette petite village, mais encore un autre touriste avec l’image précisd’un rebelle mais toujours vide. Cet exercice ininterrompu me rendra suicidaire, accroché d’un espoir illusoire, comme si la révolution n’était plus faisable, comme si elleaurait devenu acceptable, une chose habituel qu’on fait chaque dix ans pour nous rendre plus entièrement à la quotidianité, s’éloignant la possibilité d’un nouveaux monde,jusque au point qu’il ne soit plus constructible. Ce jour pluvieux à la moitié de l’été, finalement marqua la fin d’un travail où la seule habitude est le désespoir.