Culturas nativas del oriente boliviano
Nos raisons d’agir
Quand le marché broie l’homme et son environnement
Trop souvent, les grandes matières premières produites dans le monde nepermettent pas à ceux qui les produisent de vivre décemment.
Dans le monde, une personne sur sept ne mange pas à sa faim. Les réserves alimentaires mondiales sont pourtant amplement suffisantes.
Despetits producteurs isolés
© Samson/Iconovox
Il y a 1,3 milliard de paysans dans le monde.
60 millions cultivent avec des machines,
240 millions avec un animal,
1 milliard à la main.Les plus modestes sont souvent en position de faiblesse au moment de vendre leur récolte à l’intermédiaire local qui souvent revendra à de grandes entreprises.
Les prix qui leur sont payés fluctuenten fonction des grands marchés mondiaux. Parfois, le paysan est contraint de vendre à perte. Il ne peut alors pas assurer les besoins de base de sa famille : nourriture, santé, éducation…
Isolés, ilsn’ont pas toujours les moyens de s’organiser. Ils n’ont pas accès à l’information sur l’évolution des prix, ni aux outils pour transformer leurs produits, ni aux moyens de transport pour exporter.Une agro-industrie prédatrice
Par ailleurs, dans les grandes plantations agro-industrielles, le droit du travail est souvent bafoué. Les ouvriers vivent au jour le jour.
Ces cultures de masse sontsouvent destructrices pour l’environnement : épuisement des ressources, usage inconsidéré des pesticides…
Dans ce cas, le commerce équitable cherche à limiter l’impact sur l’environnement et à redonnerespoir aux travailleurs.
1. Bajo Salario pagado al caficultor de café convencional.
Estos pueden clasificarse de la siguiente manera:
- Capacitación y asistencia técnica limitadas para elmejoramiento de la productividad a nivel de productores de base.
- Baja producción y productividad por hectárea.
- Cultura o tradición cafetalera
- Altos costos de certificación de productos...
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