Trauduction en français el rio de cortazar

Páginas: 3 (612 palabras) Publicado: 26 de febrero de 2010
Mais si c’est ainsi, je me demande ce que tu fais dans ce lit que tu avais décidé d'abandonner pour l'autre plus vaste et plus humide. Maintenant il en ressort que tu dors, que de temps en temps tubouges une jambe qui va changer le dessin du drap, tu sembles irritée par une chose, pas tellement en colère, c'est comme une fatigue amère, tes lèvres ébauchent une grimace de mépris, laissentéchapper l'air de manière entrecoupée, le reprennent par de brèves bouffées, et je crois que si je n’étais pas si exaspéré par tes fausses menaces j’ admettrai que tu es de nouveau belle, comme si le sommeilte faisait revenir un peu de mon côté, là où le désir est possible et jusqu'à une réconciliation ou un nouveau délai, quelque chose de moins trouble que cette aube où commencent à rouler les premierscoches et où les coqs mettent à nu abominablement sa servitude horrible.
Je ne sais pas, cela n’avait même pas de sens de demander à nouveau si dans un moment tu étais parti, si c’étais toi cellequi a frappé la porte après être sorti dans l'instant même où je glissais dans l'oubli, et peut-être c'est pour cela que je préfère te toucher, non parce je doute que tu ne sois là, probablement à aucunmoment tu es partie de la pièce, peut-être un coup de vent a fermé la porte, j'ai rêvé que tu étais parti en attendant, en me croyant éveillé, tu me criais ta menace depuis les pieds du lit. Ce n’estpas pour cela que je te touche, dans la pénombre verte de l'aube il est presque doux de passer une main sur cette épaule qui sursaute et elle me repousse. Le drap te couvre à moitié, mes mainscommencent à descendre le long du dessin lisse de ta gorge, en m'inclinant je respire ton odeur qui sent la nuit et le sirop, je ne sais pas comment mes bras t'ont enlacée, j'entends une plainte tandis quetu arques la taille en te refusant, mais nous deux connaissons trop ce jeu pour croire en lui, il faut que tu m'abandonnes ta bouche qui halète des paroles volantes, il ne sert à rien que ton corps...
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