L’ouvrage de 1925 the city resumen
Páginas: 4 (805 palabras)
Publicado: 5 de enero de 2011
La croissance de la ville, Burgess
Tous les articles ont été publiés avant l’ouvrage de 1925 The City.
Date de publication importante.
Ce sont des fondateurs d’une forme particulière desociologie qu’est la sociologie américaine. Un programme de recherche est un ensemble de principes qui vont guidés les chercheurs. Ils peuvent être épistémologiques, la méthode de l’observation participante.Il y a aussi des objets d’études privilégiés comme la ville par exemple axé sur la problématique urbaine. Les fondements sont posés par le texte de Burgess.
La ville est le lieu de la questionsociale. Ce problème est la question de l’égalité. De plus, la ville se transforme au niveau architectural (émergence des gratte-ciels). L’une des matérialisations de ce problème est l’exode rural. Lephénomène d’urbanisation est lié à la modernité elle-même. La ville est le lieu de la modernité, c’est là qu’elle émerge et qu’elle se manifeste de la manière la plus aiguë. La ville est un miroircroissant de la modernité. C’est là que tout ce qui est moderne se manifeste avec le plus de force. Les premiers quotidiens émergent également dans ces villes. L’émergence de la modernité culturelle est unfait particulier de la ville. L’industrie est le propre de cette nouvelle modernité. La mobilité moderne est une mobilité des villes (nouveaux moyens de transport).
Les américains sont à la pointe decette modernité. C’est le grand pays d’émigration. Toutes ces manifestations de la modernité sont typique américaine.
La ville est le laboratoire des sociologues américains d’où le fait que cettenouvelle sociologie émerge à Chicago.
1833 : 200 habitants
1850 : 33 000 habitants
1880 : 500 000 habitants
1900 : 1 700 000 habitants
1930 : 3,3 millions d’habitants
Selon Burgess il y a unetendance générale qui s’applique à toutes les villes mais Chicago offre une part particulière.
Page 135 :
Il s’agit d’une représentation idéale, schématique. C’est une représentation des tendances...
Tous les articles ont été publiés avant l’ouvrage de 1925 The City.
Date de publication importante.
Ce sont des fondateurs d’une forme particulière desociologie qu’est la sociologie américaine. Un programme de recherche est un ensemble de principes qui vont guidés les chercheurs. Ils peuvent être épistémologiques, la méthode de l’observation participante.Il y a aussi des objets d’études privilégiés comme la ville par exemple axé sur la problématique urbaine. Les fondements sont posés par le texte de Burgess.
La ville est le lieu de la questionsociale. Ce problème est la question de l’égalité. De plus, la ville se transforme au niveau architectural (émergence des gratte-ciels). L’une des matérialisations de ce problème est l’exode rural. Lephénomène d’urbanisation est lié à la modernité elle-même. La ville est le lieu de la modernité, c’est là qu’elle émerge et qu’elle se manifeste de la manière la plus aiguë. La ville est un miroircroissant de la modernité. C’est là que tout ce qui est moderne se manifeste avec le plus de force. Les premiers quotidiens émergent également dans ces villes. L’émergence de la modernité culturelle est unfait particulier de la ville. L’industrie est le propre de cette nouvelle modernité. La mobilité moderne est une mobilité des villes (nouveaux moyens de transport).
Les américains sont à la pointe decette modernité. C’est le grand pays d’émigration. Toutes ces manifestations de la modernité sont typique américaine.
La ville est le laboratoire des sociologues américains d’où le fait que cettenouvelle sociologie émerge à Chicago.
1833 : 200 habitants
1850 : 33 000 habitants
1880 : 500 000 habitants
1900 : 1 700 000 habitants
1930 : 3,3 millions d’habitants
Selon Burgess il y a unetendance générale qui s’applique à toutes les villes mais Chicago offre une part particulière.
Page 135 :
Il s’agit d’une représentation idéale, schématique. C’est une représentation des tendances...
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