Historia de las problemáticas francés
La Communication émane de la Culture qui émane de l’Histoire
I) Introduction à la culture générale et ses différents niveaux :
4 fondamentaux pour définir une culture :
- la langue
- la divinité
- l’art
- la technique
On ne peut comprendre la question de la culture et les difficultés qu’elle soulève sans définir le mot lui-même et sansenvisager la question du comparatisme.
Comment peut-on définir une culture ? Se pourrait-il faire qu’il existe des sociétés sans culture ?
Au cours du XIXème siècle, une école de philologie (=étude des institutions, des langues, des mœurs d’une société) allemande propose de distinguer la culture de la civilisation. Elle appelle « culture » tout ce qui est matériel ou physique tel que l’art, latechnique, les comportements… et elle appelle « civilisation » tout ce qui est abstrait ou immatériel tel que la morale, la spiritualité religieuse, les systèmes de représentations… Aujourd’hui les historiens de la culture et les ethnologues considèrent que cette distinction n’est plus pertinente, cad que les deux termes sont identiques. Ainsi on défini une culture par la présence en son sein dequatre éléments fondamentaux : l’art, le langage, la technique et l’esprit divin. Ainsi conçue, on peut dire qu’il n’y a pas de peuple sans ces éléments cad pas de peuple sans culture.
Dès lors serait-il possible de comparer les cultures entre elles ? Selon quels critères se feraient cette comparaison ? il s’agit là de questions très dangereuses car l’Histoire de l’Homme nous apprend que enrassemblement humain, toutes les sociétés humaines ont tendance à se comparer avec les autres en vue très souvent d’établir une certaine hiérarchie.
le comparatisme est le propre des sociétés
Cependant on ne peut pas se priver scientifiquement des connaissances que le comparatisme culturel pourrait nous apporter. En effet, il est possible d’étudier ou de montrer comment dans une même culture lepassage d’un niveau à un autre.
Davantage encore, il est instructif de mesurer les écarts entre eux, et des avancés d’une société à une autre. Ceci non pas pour établir une échelle de valeur mais pour étudier et respecter les différences voir les protéger.
L’ethnologue Levis Strauss a montré dans toute son œuvre et notamment dans race et histoire, l’équivalence de toutes les cultures y comprit lesprimitives ou sauvages parce que le propre de l’Homme c’est aussi vouloir protéger ses particularités, son mode de vie. Ce que nous apprend l’ethnologue c’est la relativité très grande et donc la richesse des cultures des comportements humains.
Les ethnologues établissent aussi une distinction entre la nature et la culture. Pour les ethnologues, ce qui est naturel, c’est ce qui n’émane pas desmains de l’Homme. (Artefact : fait par les Hommes, ex : la radio, la TV, les navires…)
Pourquoi a-t-on besoin de distinguer la culture de la nature ?
Cette distinction sert à montrer philosophiquement comment l’Homme possède une double dimension :
- naturelle ou animale
- culturelle
Davantage encore grâce à l’élément culturel, l’animal humain fait tout pour cacher son coté animal (utilité duvestimentaire, des bijoux…).
Deux actes qui font preuve de pudeur et témoigne du coté animal de l’Homme (acte sexuel, aller aux toilettes)
La Nature nous sert aussi de modèle à imiter aussi bien dans l’art que dans la science. Ainsi la distinction Nature/Culture est pour les ethnologues une distinction capitale et le passage de l’un à l’autre fondamental.
Cours n°2 :
La philosophe n’estni une science dure ni une science molle.
La philosophie procède par questionnement, et le philosophe essaye d’y répondre. Si la philosophie n’est pas une science, elle dépend cependant beaucoup des sciences car sans philosophie il n’y a pas de science ?
1) La science, la philosophie et la religion :
On distingue 2 types de sciences :
* celles dites molles, humaines ou sociales...
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