Intro maras

Décembre 2008. El Salvador, El mundo, "Matan a mujeres en San Diego", "Otro asesinato de un transportista", "Alza de homicidios es por maras", "La policia registra 8,7 asesinatos al dia","Pandilleros matan a vendedora de pan", "Asesinato de mujer y tres hombres vinculados a maras". Honduras, La prensa, "Unos 250 muertos al mes", "Yo queria ser el criminal mas famoso". Guatemala, Prensa libre,"Maras reclutan mujeres", "El Caribe se unira para combatir maras", "Autoridades temen ola de venganza de maras", "Mara amenazan con extorsiones", "Pelea entre maras deja seis heridos". Nicaragua, Laprensa, "Mara se extienden en el mundo"...
Chaque jours la presse centraméricaine relate les ignominies quotidiennes effectuées par les 'maras'. Bien evidemment la liste pour être bien plusconséquente mais elle est suffisante pour démontrer que le phénomène 'mara' est bien encré dans la réalité des ces pays. Les journalistes insistent sur ce phénomène social de grande importance qui s'estconverti en l'un des problèmes urgent de ces sociétés de par la prolifération des 'maras' et l'augmentation de la délinquence juvénile urbaine.

La définition de ce qu'est une 'mara' diffère fortementselon les points de vue. Tout d'abord, il faut savoir que le terme 'mara' est l'équivalent centraméricain de ce qui serait en Espagne 'pandilla', à savoir : une bande. La définition académique, qui estde loin la plus neutre est la suivante : "se trata de agrupaciones formadas moyoritariament por jovenes, quienes comparten una identidad social que se refleja principalmente en su nombre, interactuana menudo entre ellos y se ven implicados con cierta frecuencia en actividades ilegales. Expresan su identidad social compartida mediante simbolos o gestos (tatuajes, grafitis...), ademas de reclamarel control sobre ciertos anuncios, a menudo territorios o mercados economicos".
Le mot 'mara' provient de 'marabunta', qui n'est autre qu'une espèce mortelle de fourmis qui détruit tout sur son...